La Tunisie placée dans la liste des paradis fiscaux au même rang que Samoa, Macao, Trinidad & Tobago et Panama.
Même si l'on commence à se familiariser avec ce dernier pays, voire à s'y habituer, grâce à Marzouk et depuis peu le foot, l'information est brutale.
Je ne crois pas un seul instant que notre pays est listé pour sa politique fiscale avantageuse en faveur des investissements étrangers.
Sinon, comment admettre que l'UE ait mis tout ce temps pour prendre cette mesure alors que ces avantages sont instaurés depuis 1993 ? D'autant plus, que la fiscalité entourant les investissements étrangers a connu quelques modifications dans le sens de leur imposition depuis 2013.
Il faut donc voir du côté du contrôle insuffisant effectué sur les transactions financières suspectes lesquelles confinent au blanchiment d'argent lié au terrorisme.
Il n'en demeure pas moins que l'UE semble avoir fait preuve d'une indéniable légèreté à l'égard de notre pays en plein processus de démocratisation, qui est signataire du traité de Barcelone de 1995 et qui à ce titre, constitue un partenaire économique ainsi que géopolitique important sinon majeur dans le pourtour méditerranéen.
C'est pourquoi, pour toute réponse, en cas de maintien dans cette liste infâmante au regard de notre conscience nationale, nos gouvernants devraient réfléchir à l'éventualité d'un retrait de ce traité.
A léger, léger et demi…